Le son des vinyles n'est pas compressé à l'image des MP3 et consorts. Par contre il est sous ou sur amplifié pour tenir compte de l'amplitude de déplacement de la pointe de lecture. Cela ne dénature absolument pas le son en lui-même. On sait parfaitement corriger avec les circuits électroniques adapté. Qui se souvient des courbes RIAA ? Particularité des têtes céramiques qui n'avaient pas besoin de correction alors que les têtes à bobines mobile le nécessitaient.

Dans un même ordre d'idée souvenez vous du "son" que l'on avait avec les lampes. Son dit "chaud" contrairement à celui des transistors plus froid. C'est subjectif, peut-être, mais les puristes le disent. On s'est rapproché un peu du son lampes avec les transistors MOSFET qui travaillaient sous des tensions bien plus élevées que les "bi-polaires".