Bonjour .
Les conditions météo impactent effectivement fortement la qualité de la réception,
mais quand on obtient un résultat de bon niveau, avec du matériel adapté aux conditions locales,
il n'y a pas de coupure.
Le problème majeur, c'est la densité de l'air, donc, prioritairement son taux d'humidité, avec en complément la pression atmosphérique .
Dans certains endroits, quand la réception est bonne en conditions normales, un air très sec affaibli les signaux.
C'est surtout sensible quand on se contente de recevoir avec une intensité au tuner de 50 dB, sans mettre de pré-ampli pour obtenir autour de 65 dB au tuner . Mauvaise économie .
Recevoir en conditions normales ne suffit pas, et pouvoir se passer de pré-ampli n'est pas une victoire si les 65 dB au tuner ne sont pas acquis.
Dans d'autres conditions, c'est le contraire : quand l'air devient lourd, par excès d'humidité, surtout en soirée l'été le long des côtes maritimes, les signaux se propagent plus facilement. Les " bons signaux " , qui risquent de devenir trop intenses ( saturation ) , et les "mauvais signaux " , les émissions d'autres émetteurs, qui peuvent venir de loin, surtout à travers les mers mais aussi depuis les centre urbains, qui envoient de tout partout et qui provoquent des interférences .
MER de 36 mini sur tous les canaux et intensité entre 63 et 68 dB sur les différents tuners , en conditions normales, protègent de ces variations. Il faut de la marge .
C'est facile à obtenir , si on prend les bons critères .
Mais comme me le disait un responsable technique d'une instance officielle, le plus difficile, c'est de casser les idées reçues
et de faire comprendre qu'une antenne à 100€ n'est pas forcément meilleure qu'une antenne à 25€ , même si beaucoup ont intérêt à le faire croire !
Bruno


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