+ Répondre à la discussion
Page 24 sur 27 PremièrePremière ... 14 22 23 24 25 26 ... DernièreDernière
Affichage des résultats 231 à 240 sur 267
  1. #231




    L'ICC2 fonctionnait sur la base de l'ICC1, à quelques nuances près, compte tenu de la nature des écrans. Sans oublier le téléviseur haut de gamme en photo ci-dessus qui nécessitait quelques adaptations.

    Les circuits intégrés étaient communs, hormis les commandes de synchros, uniquement chapeautées par le TDA 2593F, et l'ampli trame par le TEA 1020.

    La commande Est/Ouest, incontournable sur ces tubes à déflexion 110°, était pilotée par un classique modulateur à diodes via une commande par transistor BF 760.

    On retrouvait toujours une alimentation reposant sur le procédé "découpeur Boost", dont la définition est détaillée dans le chapitre ICC1, à l'électronique renforcée en raison de la consommation énergétique accrue liée aux écrans de 56 cm et 67 cm. La tension HT1 devait être mesurée à 135 V. Par ailleurs, il ne faut pas oublier qu’un ampli BF Hi-Fi, tendance émergente à l’époque, pouvait également se montrer particulièrement gourmand.

    Les ICC1 et ICC2 n'exploitaient pas encore le BUS I²C contrairement au futur ICC3.





    Lien de la page complète : https://windows7passion.fr/icc2.html

    Lien de la page Thomson généraliste : https://windows7passion.fr/thomson.html

    EDIT modération
    Citation Envoyé par tontonve
    Rectification :

    Erreur dans la rubrique ICC2 :

    « Les ICC1 et ICC2 n'exploitaient pas encore le BUS I²C, contrairement au futur ICC3. »

    L'ICC3 de Thomson n’utilisera pas le BUS I²C développé par Philips, mais l'I.M. BUS (Intermétal d'ITT), qui repose sur trois lignes : données, horloge et validation. A la différence de Philips, dont le système utilise deux lignes (SDA/SCL), les informations n’y circulent pas en continu, mais "latchées".

    Un grand merci à Guy pour cette clarification !

    RVB
    Images attachées
    Dernière modification par kiki37 ; 30/11/2024 à 14h35.
    Tontonve Charleville (08) et Chaumont (52)
    https://windows7passion.fr/grundig.html

    •   Alt 

      Réclame

       
       

  2. #232




    Dans la profession, on saluait généralement le sérieux de l'ICC3 (PAL/SECAM en 90°), désormais géré par bus I²C. Une longue filiation s'était établie, incluant notamment l'ICC32 (multistandard) ainsi que les ICC35 et ICC36 en 110°. Cette génération marquait la dernière utilisation du "découpeur Boost" dans l'alimentation, une technologie dont la définition figure dans le chapitre ICC1. Le châssis se reconnaissait aisément par son gros condensateur chimique CP11 (470 μF/250 V), souvent de couleur jaune ou noire, fixé à l’horizontale par un collier Rilsan. Celui-ci se trouvait vers l’écran, à droite du châssis (vu de l’arrière). Il était également reconnaissable à son bloc blindé tuner-FI MTS 4000S. Ce dernier, exploitant les SDA2002 et SDA2101 pour la synthèse de fréquence et le TDA4426 pour la FI vidéo, s’avérait plus fiable que les solutions proposées à l’époque par Grundig.

    Le module décodeur SECAM était pris en charge par l’IC Panasonic AN5630, inconnu en France. Plusieurs variantes de platines FI son existaient, telles que les MAM30M/CT et MAM3200M. On rencontrait également les sous-ensembles de commande PSF3000 et PSF3001M. Le traitement vidéo était assuré par le classique et respecté TDA3506, tandis que les synchros étaient confiées au très courant TDA1950.

    Les châssis destinés aux écrans à déflexion 110° (ICC35, ICC36...) intégraient le TDA4610 pour la commande Est/Ouest, dédiée au modulateur à diodes. Le balayage trame reposait sur un thyristor, souvent l'ESM740, peu répandu à l’époque. Avec les années, celui-ci pouvait provoquer une mise en sécurité de l’alimentation (battements) ou un tassement de l’image dans sa partie supérieure, accompagné d’un sifflement provenant du THT. De nouvelles pannes susceptibles de dérouter les néophytes en dépannage. Enfin, le balayage ligne, plus traditionnel, s’appuyait sur un transistor.











    Lien de la page complète :https://windows7passion.fr/icc3.html

    Lien de la page Thomson généraliste : https://windows7passion.fr/thomson.html
    Images attachées
    Dernière modification par tontonve ; 20/11/2024 à 15h04.
    Tontonve Charleville (08) et Chaumont (52)
    https://windows7passion.fr/grundig.html

  3. #233




    Ce châssis se caractérisait par une conception intégrée, utilisant des techniques avancées et des technologies de pointe. On y retrouvait l'usage généralisé de composants miniatures de type "melfs" de 6x2 mm et "chips" de 3x2 mm. La gestion de l’ensemble reposait sur un traitement numérique, avec un microprocesseur central assurant le contrôle des divers éléments à travers de véritables bus de communication et de données. Le dialogue entre le microprocesseur, le tuner (à synthèse de fréquence), la platine de commande et le vidéoprocesseur se réalisaient donc directement par BUS I2C.

    Le téléviseur intégrait désormais une alimentation à découpage, de taille réduite, contribuant à la compacité globale du châssis. Il existait d'ailleurs un kit de dépannage. Le contrôle de la partie puissance était pris en charge par un processeur dédié, lequel gérait trois types de signaux pour piloter les circuits de balayage horizontal (transistor), vertical (thyristor) et la régulation de l’alimentation haute tension. Un système de sécurité permettait d’assurer la protection de l’appareil. Cette approche allégeait le châssis d’environ 2 à 3 kg, tout en réduisant la consommation à 60 W. Une fonction de clé électronique rendait le téléviseur inutilisable à partir du clavier en cas de verrouillage via la télécommande, par une simple pression prolongée de quatre secondes sur la touche veille. En outre, le téléviseur passait automatiquement en mode stand-by après cinq minutes d’absence de signal, à l’exception du mode AV (magnétoscope).

    Différentes variantes étaient prévues, incluant la télécommande infrarouge, le multinorme LL'/BG/I, l'export BG mono/stéréo, le décodeur Antiope, le multistandard PAL/SECAM/NTSC, ainsi que les réseaux câblés conformes aux normes CCETT et CATV.













    Lien du magazine le Haut-Parleur sur le procédé Stabicolor : https://windows7passion.fr/icc4/icc4.stabicolor.pdf

    Lien de la page complète : https://windows7passion.fr/icc4.html

    Lien de la page Thomson généraliste : https://windows7passion.fr/thomson.html
    Images attachées
    Dernière modification par tontonve ; 20/11/2024 à 15h23.
    Tontonve Charleville (08) et Chaumont (52)
    https://windows7passion.fr/grundig.html

  4. #234





    L'ICC5 était le premier châssis à gérer le tube Super Planar, spécifiquement développé par et pour le groupe Thomson via sa filiale Vidéocolor. Deux opinions prévalaient : certains l'appréciaient pour ses qualités, tandis que d'autres, comme moi, remettaient en question la précision de sa géométrie. La particularité du tube résidait dans sa forme concave au centre, contrairement à la courbure convexe habituelle, c'est-à-dire légèrement bombée dans l'autre sens, ce qui donnait l'illusion d'un écran plat sur environ 80 % de sa surface. Le traitement antireflet renforçait cet effet visuel.

    Pour compenser une distorsion en coussin Nord-Sud de 8 %, un module de correction "d'ailes de mouettes" NS 5000 M, impressionnant à l'époque par sa hauteur et le nombre de ses composants, était ajouté verticalement à l'arrière du châssis ICC5. Les réglages s'effectuaient sur trois zones (haut, centre, bas) via des potentiomètres et des inductances, permettant d’ajuster les lignes horizontales. Ce tube évolua ensuite vers le Black King Planar, utilisé dans les téléviseurs HCR9000, 72DO90 et 70DO91 "Numeric System" de 1992, avec une dalle de verre encore plus plate et un traitement antireflet plus sombre.


















    Lien de la page complète : https://windows7passion.fr/icc5.html

    Lien de la page Thomson généraliste : https://windows7passion.fr/thomson.html
    Images attachées
    Tontonve Charleville (08) et Chaumont (52)
    https://windows7passion.fr/grundig.html

  5. #235
    L'ICC5 clôture mon dossier sur Thomson.

    Je ne souhaite pas approfondir davantage cette marque avec les IKC1, IKC2, ICC7... qui, comme ses concurrentes de l’époque, s’est orientée vers une logique purement commerciale et donc économique ou avec des sécurités partout. Surtout que je n'en suis pas spécialiste !!!
    Si quelqu’un dispose tout de même d’une photo en plan large des châssis Thomson déjà traités :
    • CAB9
    • ICC2
    • ICC4
    • Et surtout du schéma général du CAB10 (surnommé « le barbecue »), je suis preneur.
    • Je suis également à la recherche du schéma général du châssis couleur 110 afin de compléter la partie Schneider.
    Vous pouvez m’envoyer ces documents via mon formulaire ou mon courriel disponible sur mon site en haut à gauche de la page d'accueil (enveloppe pour le courriel).

    Mon prochain "post" portera sur les cinq châssis couleur de Schneider, jusqu’à leur transition sous RTC Philips. Quelques recherches et mises à jour restent nécessaires avant publication.

    Je tiens à remercier Jacques (KIKI37), sans qui toute la partie Schneider n’aurait pas été possible.

    N'hésitez pas à déposer un petit mot sur mon livre d'or qui vous donnera accès automatiquement à toutes les schémathèques Grundig de mon site, hors dossiers formations que vous pouvez, par ailleurs, obtenir gratuitement sur simple demande. Après, bien sûr, avoir visité Windows7passion qui ne contient aucune publicité hors forums TSN et TVNT.net non intrusives.

    Bien cordialement,

    RVB
    Dernière modification par kiki37 ; 20/11/2024 à 23h38.
    Tontonve Charleville (08) et Chaumont (52)
    https://windows7passion.fr/grundig.html

  6. #236
    Membre
    Date d'inscription
    mai 2012
    Messages
    3 641
    Si le chassis ICC5 n' a existé qu' avec un tuner B/G et L/L'


    Les ICC3 et ICC4 ont existé avec le tuner B/G-L/L4 et L/L' seul


    Mais les platines chrominance étaient interchangeables entre une SECAM seul( AN 5630 ), pour la remplacer par un module chroma SECAM/PAL( AN 5630 + AN 5620 pour ICC3 ), et TDA 4556 pour ICC 4.


    les commerçants peut compétents sur ce sujet m' ont pris pour un idiot !

  7. #237


    Plongeons avec tendresse dans une époque révolue, empreinte de chaleur et de passion, où les frères Schneider écrivaient encore leur histoire à travers cinq châssis couleur, avant que la Radiotechnique (Philips France) ne vienne s’imposer, vampirisant peu à peu cet héritage si singulier. Ce patronyme, Schneider, évoque à coup sûr un doux parfum de nostalgie pour Jacques (KIKI37), qui a tant travaillé avec cette marque qu’il portait dans son cœur. Ses précieux documents techniques, mis généreusement à la disposition de tous, en témoignent. Certains, patiemment manuscrits, d’autres, dactylographiés rappellent une époque où tout se faisait sans traitement de texte, mais avec une rigueur et une passion infinies.

    C’était un temps où le respect entre constructeur, technicien et client tissait un lien sacré. Chaque intervention dépassait la simple tâche professionnelle. Elle incarnait l’amour du métier, cet engagement sincère à toujours donner davantage que ce que la fonction exigeait. Cet esprit, malheureusement fragilisé, voire détruit, par nos politiciens, absorbés par la course au profit, occupait alors une place centrale dans nos vies.

    Dans ce contexte, le technicien était bien plus qu’un dépanneur, il était un repère essentiel, un pilier de la communauté, estimé autant que l’instituteur ou même le médecin du village. Ces moments de complicité et de reconnaissance mutuelle, ces gestes du quotidien accomplis avec le cœur, appartiennent désormais à un temps que les moins de 60 ans ne peuvent pas connaître, mais dont l’écho résonne encore pour les vétérans qui l’ont vécu.

    RVB
    Images attachées
    Dernière modification par tontonve ; 21/11/2024 à 10h09.
    Tontonve Charleville (08) et Chaumont (52)
    https://windows7passion.fr/grundig.html

  8. #238



    Fondée par les frères Schneider, Jacques, ingénieur visionnaire, et Sacha, leader charismatique, l’entreprise débuta en 1934 sous le nom de Schneider Frères, spécialisée dans l’achat et la vente d’appareils TSF, ancêtres de la radio. Le modèle Pygmée marqua leur première tentative de miniaturisation.

    Ils créèrent ensuite une nouvelle société, SERT, dédiée à la construction d’appareils radio en 1936. En 1939, l’atelier parisien comptait déjà 200 employés et se positionnait parmi les leaders du marché français. Après la guerre, leur société devint La Société Nouvelle des Etablissements Schneider Frères S.A.. La production du premier poste de télévision débuta en 1947, et en 1952, l’entreprise s’installa dans une nouvelle usine à Ivry-sur-Seine, consolidant sa place dans le secteur. En 1955, la radio Romance FM fut lancée. C’est la femme de Sacha, passionnée de musique et pianiste, qui donna aux postes des noms inspirés de l’univers musical. En 1958, la marque fut rebaptisée Schneider Radio-Télévision (SRT).

    En 1965, les frères Schneider prirent le contrôle de La Compagnie Générale de Télévision et d’Electronique (CGTVE), intégrant les marques Arphone et Tévéa, d’où découleront leurs cinq châssis couleur respectifs : "CL5", "5212", "70", "110" et "210". Au fil des années, Schneider innovera avec des produits emblématiques tels que le Cader en 1960, un TV portable de luxe. En 1963, la nouvelle usine du Mans produisait un récepteur radio toutes les 80 secondes et un téléviseur toutes les trois minutes.


    SCHNEIDER ET SON PREMIER CHASSIS COULEUR


    En 1967, le premier téléviseur couleur sortit des chaînes avec un châssis sérieux, le "CL5", hélas de fabrication archaïque. En 1970, le téléviseur monochrome Trans 2000, avec son design à pied tulipe, devint un symbole de son époque. Enfin en 1973, le modèle Popsy, l’un des tout premiers téléviseurs noir et blanc portatifs, pesant moins de dix kilos et proposé en blanc, rouge ou jaune, marqua également les esprits.

    Dans les années 1970, de redoutables concurrents, notamment japonais, firent leur apparition, entraînant une baisse significative du chiffre d'affaires de Schneider, alors fortement endetté auprès de RTC, son fournisseur officiel de tubes cathodiques couleur. En 1971, une entité commune à Philips et SRT, la CELMANS, fut créée, détenue à 51 % par Philips. Dès lors, l’usine produisit des téléviseurs sous les marques Radiola, Philips et Schneider. En 1975, Schneider maintenait encore une production distincte, mais les châssis TVC 7 de La Radiotechnique furent intégrés dès 1976, avant le rachat officiel de l’entreprise par Philips en 1980.

    Philips commercialisa des appareils sous la marque Schneider jusqu’en 2005. Suite à la cession de sa branche divertissement (audio) à Gibson, un fabricant bien connu de guitares, et à la vente de sa division téléviseurs au chinois TPV, Philips vendit les marques Radiola et Schneider à Admea. Cette société, un distributeur français, prit par la suite le nom de Schneider Consumer Group. Bien que la marque Schneider soit toujours française aujourd'hui, sa production délocalisée en Chine peut légitimement soulever des questions sur l'ambiguïté concernant la véritable origine technique des produits.











    Lien de la page complète : https://windows7passion.fr/schneider.cl5.html

    Images attachées
    Dernière modification par tontonve ; 21/11/2024 à 10h33.
    Tontonve Charleville (08) et Chaumont (52)
    https://windows7passion.fr/grundig.html

  9. #239


    SCHNEIDER ET SON DEUXIEME CHASSIS COULEUR

    Lire une publicité vintage est toujours intéressant. Quels arguments les professionnels utilisaient-ils pour promouvoir leurs produits?

    Voici le texte d'une campagne publicitaire pour un téléviseur couleur Schneider en 1969 :

    "AVEC SON NOUVEAU TELEVISEUR 56 CM, IL DONNE ENFIN LE FEU VERT POUR LA COULEUR.

    Jusqu'à présent, un très bon téléviseur couleur, c'était avant tout une image couleur techniquement parfaite, minutieusement réussie et pourtant aussi docile, aussi simple à régler qu'une image noir et blanc. Aujourd'hui, cela ne suffit plus ! Cette féérique image couleur ne mettra plus en danger votre compte en banque. Pour la première fois, une grande marque lance un téléviseur couleur doté des derniers perfectionnements techniques pour un prix réellement abordable. Allez vous en assurer en demandant une démonstration à votre distributeur spécialiste Schneider". La réclame diffusée dans les magazines est disponible en bas de page.

    Force est de constater que, mis à part le prix très légèrement en baisse, l'effort était minimal sur les atouts commerciaux. Rappelons que le téléviseur Murao 63cm présenté en photos ci-dessus était tout de même affiché à 3590F...











    La publicité en question





    Lien de la page complète : https://windows7passion.fr/schneider.5212.html
    Images attachées
    Dernière modification par tontonve ; 21/11/2024 à 10h36.
    Tontonve Charleville (08) et Chaumont (52)
    https://windows7passion.fr/grundig.html

  10. #240


    Pour la première fois, un constructeur mettait en avant le circuit CAF (contrôle automatique de fréquence), présenté comme une innovation dans leur campagne de 1972, illustrée par la publicité en bas de page. Le châssis "70" de Schneider fut le précurseur en TV couleur du tuner à diode varicap, ou varactor (acronyme de variable reactor), qui fonctionnait comme un condensateur à capacité variable. Celle-ci dépendait de la tension inverse appliquée à ses bornes, permettant un réglage contrôlé. La dérive en fréquence appartenait désormais au passé.

    L'agencement du châssis proprement dit, visualisable ci-dessus, comportait, à gauche, une grande platine de réception qui pouvait glisser vers l'extérieur et pivoter de 90° afin de permettre un accès à tous les organes. Cette partie incluait la chrominance, l'amplificateur FI, la vidéo, l'amplificateur BF et la régulation de 22 volts. Les modules des bases de temps ligne et trame, situés respectivement verticalement à droite et en bas du téléviseur en position horizontale, pivotaient, offrant un accès total pour le dépannage tant du côté des composants que des soudures. Le téléviseur fonctionnait, bien évidemment, avec les modules déployés.

    L'ensemble "petits signaux" depuis le châssis "5212" était entièrement transistorisé. Avec le châssis "70", l'intégralité du traitement audio le devenait également, permettant l'obtention du son dès le démarrage du téléviseur. L'exploitation de 7 lampes demeurait nécessaire pour le fonctionnement des balayages. Le tout transistor n'était pas encore de rigueur au début des années soixante-dix.

    Contrairement à son prédécesseur, réputé pour préserver la durée de vie de ses tubes cathodiques, le châssis "70" avait la particularité de solliciter davantage ces derniers, accélérant ainsi leur usure.



    Lien de la page complète : https://windows7passion.fr/schneider.70.html
    Images attachées
    Dernière modification par tontonve ; 21/11/2024 à 10h35.
    Tontonve Charleville (08) et Chaumont (52)
    https://windows7passion.fr/grundig.html

Les tags pour cette discussion

Liens sociaux

Liens sociaux

Règles de messages

  • Vous ne pouvez pas créer de nouvelles discussions
  • Vous ne pouvez pas envoyer des réponses
  • Vous ne pouvez pas envoyer des pièces jointes
  • Vous ne pouvez pas modifier vos messages