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  1. #201



    1964




    Le salon Audio - TV d'octobre 1964 (saison 1965) mettait en évidence les avancées des récepteurs radio. Bien moins spectaculaire que l'avènement des transistors, ces progrès se manifestaient tout de même par de nombreuses améliorations, discrètes pour le grand public, mais augmentant la qualité sonore et visuelle des appareils ainsi que leur fiabilité.

    Cette année, les évolutions les plus impressionnantes se situaient dans le domaine des télécommunications, notamment avec l'utilisation de satellites et d'appareils électroniques avancés, comme les lasers, ouvrant la voie à des transmissions globales.

    La production française de postes à transistors domina le marché, représentant près de 90 % des ventes, avec environ 5 millions d'unités en circulation. Ces petites radios portables, autrefois limitées aux appareils autonomes, équipèrent désormais également les téléviseurs et les systèmes audio, offrant une meilleure qualité sonore et une puissance accrue grâce à des avancées technologiques. Les modèles modernes devenaient plus polyvalents, permettant des réceptions sur de longues distances.

    En ce qui concerne les téléviseurs, les conceptions évoluèrent vers des formes plus harmonieuses et fonctionnelles, avec parfois un réglage automatique de la luminosité et du contraste par cellule photoélectrique. Les nouveaux tubes cathodiques, sans glace de sécurité, améliorèrent la qualité visuelle en réduisant les réflexions et en augmentant le rendement lumineux. Les fabricants japonais produisaient déjà des téléviseurs portatifs à bas prix, tandis que l'enregistrement d'images télévisées sur bandes magnétiques, via des magnétoscopes, représentait une avancée notable, promettant de capturer des images animées directement.

    Enfin, des recherches continuèrent, avec des développements encourageants visant à améliorer la luminosité des images et la qualité sonore. Espérons, pour conclure, que les quelques téléspectateurs sensibles aux sons aigus autour de 15,625 Hz puissent voir un jour la production du désagréable sifflement continu lié au balayage ligne sur la deuxième chaîne atténuée...

    Je vous ai sélectionné quelques articles :


    . Nouveautés radio TV.

    . Nouveautés en FM stéréo.

    . Deuxième chaine de l'ORTF.

    . Gamme radios d'appartement.

    . Gammes radios portatives et autoradios.

    . Gammes TV portatifs et de salon.

    Vous pouvez consulter l'entièreté du numéro spécial le Haut-Parleur en PDF ici.

    Bonne lecture,

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      Réclame

       
       

  2. #202



    1965




    Moins spectaculaires peut-être qu'il y a quelques années, les progrès des appareils électroacoustiques n'en étaient pas moins continus. S'il n'y avait pas eu d'événements aussi notables que l'apparition des dispositifs stéréophoniques, de nombreuses nouveautés étaient pourtant à signaler dans des domaines très divers de ce salon HIFI Parisien d'avril 1965.

    Les haut-parleurs modernes intégraient des éléments variés pour reproduire une large gamme musicale. Généralement, plusieurs haut-parleurs aux caractéristiques distinctes étaient utilisés dans une seule enceinte acoustique. Une innovation consistait à disposer des haut-parleurs de petit diamètre en colonnes ou panneaux sonores pour obtenir des effets directionnels et une reproduction étendue avec moins de distorsion. Des enceintes plus compactes, permettant une bonne qualité sonore dans des espaces restreints, étaient également développées, notamment grâce à des haut-parleurs à suspension élastique souple.

    Les magnétophones modernes, dotés de 2 à 4 pistes et de diverses vitesses, utilisaient moins de bande magnétique tout en maintenant une qualité sonore acceptable. Les avancées incluaient des têtes magnétiques encore plus fines et des systèmes d’enregistrement permettant des trucages sonores. Les appareils récents, souvent automatisés, simplifiaient les opérations et ajustaient automatiquement les niveaux d’enregistrement.

    L’adoption de transistors dans le matériel électroacoustique était en constante augmentation, favorisant la portabilité et la fiabilité des appareils. Des systèmes de sonorisation améliorés pour les projecteurs de cinéma et des dispositifs de synchronisation optique contribuaient par ailleurs à l’évolution technologique. De plus, des magnétoscopes ou vidéoscopes et des kits de montage accessibles aux amateurs apparaissaient, du moins en Angleterre, promettant une démocratisation de ces technologies.

    Je vous ai sélectionné quelques articles :

    . Des bras et cellules de lecture.

    . Tables de lecture.

    · Bien choisir son magnétophone.

    · Perfectionnement des amplis BF.

    . Gammes tourne-disques, électrophones et HIFI.

    . Gamme magnétophones.


    Vous pouvez consulter l'entièreté du numéro spécial le Haut-Parleur en PDF ici.

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  3. #203



    1967




    Le salon parisien de la télévision couleur de 1967 représentait un moment charnière dans l'histoire de la télévision française, marquant la transition officielle vers la diffusion en couleur. Organisé peu avant le lancement du service couleur sur la deuxième chaîne en octobre 1967, cet événement réunissait les principaux acteurs de l'industrie de l'électronique et de la télévision. Il était l'occasion pour les fabricants de présenter leurs premiers téléviseurs couleur au grand public, qui découvrait alors les subtilités du SECAM, le système de codage couleur développé par les ingénieurs nationaux, qui plus est vanté comme une innovation technologique majeure face aux systèmes concurrents comme le PAL et le NTSC.

    Cet événement ne se limitait pas uniquement à une démonstration technologique, il symbolisait également un jalon culturel, car la télévision couleur promettait de transformer l’expérience télévisuelle en France, à une époque où les émissions en noir et blanc dominaient encore. Le salon permettait ainsi aux visiteurs de s’émerveiller devant une innovation qui allait bientôt devenir une norme dans les foyers français, bien que la démocratisation des téléviseurs couleur prît encore plusieurs années.

    Je vous ai sélectionné quelques articles :

    . Gamme radios d'appartement.

    . Gammes radios portatives et autoradios.

    . Gamme TV noir et blanc.

    . Gamme TV couleur.

    Bonne lecture,

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  4. #204




    1969




    Le salon parisien de la Hi-Fi de mars 1969 illustrait les avancées spectaculaires dans ce domaine, accessibles désormais à un large public. Il y a quelques années, cette technologie était réservée à une élite, avec des installations avoisinant les 10 000 francs. En 1969, pour environ 5 000 francs, il était possible d'acquérir une chaîne stéréophonique de très haute qualité, voire de satisfaire les mélomanes avec des systèmes simplifiés pour seulement 1 500 à 2 000 francs. Les disques, eux aussi, devenaient plus abordables. On trouvait des collections de 45 tours à 7 francs, ainsi que des 33 tours 25 cm à 12 francs, incluant une œuvre entière.

    Les performances d'une chaîne dépendaient non seulement de ses composants, mais aussi des caractéristiques acoustiques de la pièce et de la disposition des haut-parleurs. Une pièce mal aménagée pouvait altérer les résultats, même avec un appareil de qualité.

    L'essor de matériels moins coûteux s'expliquait par l'évolution technologique. Les transistors remplaçaient progressivement les tubes à vide, et les circuits imprimés se généralisaient. Les procédés de microélectronique et de stéréophonie, ainsi que la régulation électronique des moteurs, se démocratisaient sur les magnétophones et les appareils audiovisuels. L’utilisation des cassettes à bande magnétique et des cartouches, en parallèle aux disques, devenait également courante, offrant une flexibilité accrue pour l'enregistrement et la lecture de la musique.

    L'esthétique des appareils évoluait aussi, avec des matériaux nobles et des formes modernes. Le volume des chaînes sonores et des enceintes diminuait considérablement, tout en maintenant une qualité acoustique satisfaisante, notamment grâce à de nouveaux systèmes de suspension. Les appareils intégrés et combinés, de plus en plus compacts, étaient désormais conçus pour s'adapter aux intérieurs modernes.

    Je vous ai sélectionné quelques articles :

    . Nouveaux tuners HIFI des USA.

    . Cartouche contre cassette.

    . Amplis BF de classe B.

    · Protection des transistors de sortie des amplis BF.

    . HIFI et changeurs de disques.

    . Gammes tourne-disques, électrophones et HIFI.

    . Gamme magnétophones (bande, cartouche et cassette).

    Vous pouvez consulter l'entièreté du numéro spécial le Haut-Parleur en PDF ici.

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  5. #205




    1969




    En 1967, la télévision couleur faisait ses débuts en France avec une certaine hésitation, principalement en raison de la qualité des émissions et du coût élevé des appareils. Cependant, la situation évoluait grâce à une baisse relative des prix et à une amélioration de la qualité des programmes et des appareils, comme le démontrait le salon parisien Audio - TV d'octobre 1969 (saison 1970). Les progrès techniques se concentraient sur l'amélioration des tubes cathodiques, notamment en augmentant la luminosité et le naturel des couleurs grâce aux nouveaux éléments luminescents, ou luminophores, à haut rendement. Cette nouvelle préparation de l'écran fluorescent augmentait la brillance de l’écran de plus de 30 % et apportait un meilleur contraste, tant en noir et blanc qu'en couleur. La peau des personnages en gros plan était reproduite avec plus de naturel, et les couleurs étaient plus chaudes. De plus, les tubes image de 63 puis de 56 cm de diagonale pouvaient désormais avoir un angle de déviation de 110°, permettant une réduction significative de la profondeur des téléviseurs.

    Parallèlement, des recherches visaient à éliminer le masque perforé et les trois canons électroniques traditionnels en configuration Delta. Les innovations incluaient des tubes à grille avec des canons en ligne et des modèles plus compacts n'exigeant qu'une faible intensité pour fonctionner. Des systèmes optiques permettant de superposer les images primaires, ainsi que des tubes à écran luminescent solide, capables de remplacer le tube cathodique classique, étaient également en développement.

    En outre, l'intégration de semi-conducteurs et de circuits intégrés dans les téléviseurs permettait de réduire la dissipation de chaleur, d'améliorer la fiabilité et de diminuer les coûts de fabrication. Les modèles binationaux, compatibles avec les standards PAL et SECAM, se multipliaient, ainsi que des dispositifs d'amélioration de la réception, tels que les indicateurs visuels de réglage comme la ligne magique chez Philips.

    L'avenir des tubes cathodiques se profilait avec des modèles plus performants, compacts et économes en énergie, tout en s'intégrant dans un marché avec lequel la miniaturisation et l'efficacité des semi-conducteurs ouvraient de nouvelles possibilités.


    Je vous ai sélectionné quelques articles :

    . Evolution des autoradios.

    . Les circuits intégrés en télévision.

    . TV noir et blanc et couleur multistandards et multisystèmes.

    . Tuner UHF à transistors.

    . Les progrès des tubes image.

    . Gammes radios portatives et autoradios à transistors.

    · Gamme radios d'appartement.

    . Gamme TV noir et blanc.

    . Gamme TV couleur.

    Vous pouvez consulter l'entièreté du numéro spécial le Haut-Parleur en PDF ici.

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  6. #206
    Demain, je vous propose de parler des châssis couleur Philips (de la Radiotechnique) du TVC 3 au TVC 12.


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  7. #207


    TVC 3

    1967





    Philips domina le marché de la télévision couleur durant de nombreuses années, fort de décennies de recherche. Dès 1941, alors que la télévision noir et blanc en était à ses balbutiements, Philips entama ses premiers travaux sur la couleur. En 1962, la société produisit en série des téléviseurs couleur NTSC, équipés de 33 lampes (hors tube cathodique RCA 21FBP22 rond de 21’’ fabriqué aux Etats-Unis) et d’un châssis K4 (K pour Krefeld, le site de production), destinés à l'exportation en petite quantité vers l’Amérique du Nord, répondant ainsi aux attentes d'une clientèle exigeante. En 1964, quelques modèles adaptés au PAL furent vendus au compte-gouttes. En 1967, le tube "Plumbicon" équipa les caméras couleur de l’ORTF ainsi que de nombreux studios, obtenant la plus haute distinction de l'industrie télévisuelle américaine, confirmant la position de leader de Philips dans le domaine de l’émission et de la réception des images en couleur. Simultanément, les écrans Delta européens sous licence RCA des USA, nommés pour la disposition triangulaire de leurs trois canons, commencèrent à être utilisés en France dès 1967. Ils étaient dotés d’une déflexion de 90° uniquement en 63 cm sur le TVC 3 accusant une profondeur dépassant les 50 cm. Leur installation et leur maintenance étaient complexes, nécessitant des réglages minutieux des convergences statiques, dynamiques et de la pureté des couleurs. Malgré un rendement lumineux faible, ces téléviseurs offraient une qualité d’image remarquable, combinant finesse, précision des couleurs et saturation. En raison de la spécificité française de l'ORTF avec la première chaîne diffusée en 819 lignes noir et blanc et la deuxième chaîne en 625 lignes couleur, Philips développa des systèmes de commutation pour ajuster le balayage ligne selon la chaîne regardée.

    Le F 25K766/01 de Philips intégrait 24 lampes, 28 transistors, un bloc VHF/UHF doté d’un rotacteur à 13 positions, ainsi qu’un tube cathodique A63-IIX. Sa consommation s’élevait à 270 W, soit 400 VA avec facteur de puissance de 0.675. L’introduction de la télévision couleur apportait une contrainte supplémentaire à la profession : le désalignement des convergences en cas de mouvement brusque. Pesant 56 kg, les techniciens hésitaient avant de le transporter ou même simplement de le bouger. Toutefois, une démagnétisation automatique à chaque démarrage (grâce à une CTN couplée à une VDR) permettait d’éviter les tâches éventuelles à l’écran. Ce châssis était équipé de plusieurs platines fixées sur un bâti basculant, un mode d’accès à l’électronique qui sera ensuite abandonné, jusqu’à sa réintroduction avec le TVC 12. Les platines présentes incluaient : FI, Base de temps, Chroma/Luma, Convergences, Raccordement, Alimentation générale, Alimentation G2 et Platine support tube. La filerie, très imposante, profitait heureusement d’une époque où le cuivre restait abordable. Un soin particulier était apporté à la restitution des noirs, dont la valeur réelle était préservée, évitant ainsi l'aspect grisâtre souvent observé sur les téléviseurs monochromes. En l'absence de couleur, le TVC 3 basculait automatiquement vers un blanc légèrement bleuté, semblable à celui des téléviseurs noir et blanc, un choix qui ne faisait pas l'unanimité. Il est surprenant de lire sur la carte de garantie du A63-IIX quelques exclusions folkloriques telles que la coupure des filaments ou la brûlure de l’écran fluorescent. Au vu du prix de vente exorbitant de l’époque, on aurait pu s’attendre à ce que ces problèmes soient pris en charge, d’autant que le client final ne pouvait en maîtriser les défaillances.

    Retrouvez ci-dessous ma page sur le TVC 3, avec tous les documents nécessaires à sa réparation.

    Ma page TVC 3.


    Liens utiles:

    Manuel d’emploi.

    Ensemble de la documentation technique TV F 25K766/01 et F 25K866/01.

    Informations service.

    Restauration TV 25K766/01 par Jean Luc Gendron.

    Bonne lecture,

    RVB

    Merci à Bozec, David26, Jean-Luc Gendron, Jean-Marc, Jérome 62290 (pour sa vidéo), Jhalphen, Kiki37, Mannix54, Marceljack, Totof73 et Tournesol pour leur participation.
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  8. #208


    TVC 4

    1969





    Le nouveau châssis TVC 4, digne héritier du TVC 3, introduisait une innovation sympathique, bien que certains pussent la voir comme un simple gadget : le réglage des chaînes par ligne magique, déjà présent sur certains téléviseurs monochromes de la marque. Deux boutons, rouge et blanc, en permettaient l’activation. Ce système faisait apparaître une ligne blanche verticale au centre de l'écran, stable et nette, dès que la syntonisation était optimale avec une antenne bien orientée. Cet outil de réglage disparaîtra avec l’arrivée des châssis TVC 7/8, devenus TVC 7/8 NN (Nouvelles Normes), qui auraient dû être rebaptisés TVC 9/10. Le TVC 4 n'exploitait plus que six lampes (ECF802, EL508, ED500, GY501, EL509 et EY500), contre 22 pour son prédécesseur, avec une partie petits signaux désormais entièrement transistorisée. Sa consommation électrique atteignait encore 240W. C’est également à partir de cette génération que les rotacteurs d’un autre temps cédèrent la place aux claviers mécaniques à 6 touches, offrant une sélection des chaînes plus moderne. Toutefois, le réglage de chaque canal nécessitait toujours de tourner une molette dédiée. Malheureusement, la graisse utilisée pour ce mécanisme durcissait avec le temps, provoquant son blocage. Il fallait alors chauffer le clavier au sèche-cheveux pour le rendre de nouveau opérationnel. Différentes évolutions du châssis verront le jour dont les dernières avec une platine base de temps équipée de relais, un nouveau bloc HF-FI et une platine Chroma à IC TBA 840/850/860. La Radiotechnique travaillait déjà d'arrache-pied pour sortir, dès 1972 un châssis révolutionnaire entièrement transistorisé, considéré par de nombreux professionnels de l'époque, comme un sommet de la technologie, et ce, à juste titre. Vous pourrez en apprendre davantage dans le dossier TVC 5.

    Retrouvez ci-dessous ma page sur le TVC 4, avec tous les documents nécessaires à sa réparation.

    Ma page TVC 4.

    Liens utiles :

    Revue commerciale Philips France 1969.

    Schéma technique K945/01 RA 549/01.

    Schéma platine chroma et évolution.

    Dernières évolutions HF-FI, Base de temps et Chroma avec IC TBA 840/850/860.

    Instructions de réglages et d'alignements.

    Informations services.

    Déblocage clavier 6 touches.

    Quelques pannes du TVC 4.

    Bonne lecture.

    RVB
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