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  1. #1
    Super Moderator Avatar de kiki37
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    audiovisuel public : la "bombe" ministérielle !

    Rassembler France Télévisions et Radio France, supprimer France Ô : les pistes choc du ministère de la culture

    Citation Envoyé par Le Monde
    Dans l’audiovisuel public, cela devrait faire l’effet d’une bombe : un document du ministère de la culture, que Le Monde s’est procuré, envisage de regrouper France Télévisions, Radio France et les autres sociétés du secteur au sein d’une une structure commune, une « holding », mais aussi de supprimer France Ô, la chaîne des outre-mers, ou de cantonner les médias jeunesse France 4 et la radio Le Mouv à une diffusion seulement numérique. Le texte n’exclut pas des suppressions de postes. Ces réformes sensibles font partie des pistes exposées le 3 novembre par le ministère dans sa « contribution au Comité action publique 2022 », ou « CAP 22 », une structure à laquelle le premier ministre, Edouard Philippe, a demandé d’ici mars de proposer d’importantes réductions des dépenses publiques.

    « C’est un document de travail. Les hypothèses ne sont pas validées par la ministre », précise au Monde le cabinet de la ministre Françoise Nyssen. Dans sa contribution, le ministère précise qu’en parallèle au CAP 22, une « réflexion souhaitée par le gouvernement a été confiée à un groupe de travail interministériel dont les travaux doivent être rendus d’ici le début de l’année 2018 » : « Les pistes évoquées ici ne préjugent pas des conclusions de ce groupe de travail qui doit par ailleurs être alimenté par les propositions des entreprises », précise le ministère, alors que les sociétés devaient justement rendre leurs propres suggestions ce lundi 13 novembre.
    Il n’empêche, les changements esquissés dans le cadre du CAP 22 éclairent la volonté du gouvernement, qui depuis l’élection d’Emmanuel Macron envoie des signaux favorables à une grande transformation de l’audiovisuel public mais sans préciser beaucoup ses intentions. Plus radicales et structurelles, les réformes proposées dans ce document pourraient bousculer les stratégies des présidents comme Delphine Ernotte (France Télévisions), Matthieu Gallet (Radio France), Marie-Christine Saragosse (France Médias Monde), Véronique Cayla (Arte) ou Laurent Vallet (INA). Jusqu’ici, ceux-ci ont plutôt plaidé pour des projets communs, sur le modèle de France Info, mais sans rassembler les entreprises.
    « Reconfiguration » des orchestres de Radio France

    Le « regroupement des sociétés au sein d’une holding » vise à « aligner et dégager des synergies », lit-on dans le document. Les structures concernées rassemblent 17 000 employés, dont 9 800 à France Télévisions, pour un budget public total de 3,8 milliards d’euros.
    Est aussi suggéré le « rapprochement » des réseaux régionaux de France 3 et France Bleu, une piste déjà évoquée, mais cette fois-ci plus détaillée : elle s’accompagnerait de la « fermeture » des bureaux régionaux de France 2, ainsi que d’un « recentrage de l’offre régionale de France 3 » et de la « révision du maillage régional d’information de France 3 ».
    Le document liste également la « mutualisation de l’information nationale et internationale », sans plus de précision.
    A Radio France, il est évoqué une « reconfiguration des orchestres », ce qui pourrait raviver le projet de suppression d’une des deux formations musicales – un projet qui avait été abandonné à la suite d’une longue grève au début du mandat de Matthieu Gallet.
    Par ailleurs, plusieurs changements touchent aux organisations, afin d’améliorer « l’efficacité » : « Réforme des modes de production à Radio France », « revue de l’allocation des ressources au regard des priorités horaires (France Télévisions, Radio France, Arte) » ou « renforcement des coproductions Arte/France Télévisions ».
    Un président pour la « holding » commune ?

    Enfin, le ministère souhaite revoir la « gouvernance » des entreprises d’audiovisuel public : il veut retirer au Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) le pouvoir de nommer les présidents, afin de le confier aux conseils d’administration des sociétés concernées, en révisant au passage la composition de ces derniers. Mais en principe, il s’agira également d’imaginer comment sera commandée la « holding » qui coiffera les entreprises d’audiovisuel public. Et de nommer potentiellement ce nouveau dirigeant.
    Prônée par certains parlementaires et évoquée dans le projet du candidat Macron, l’union des structures avait jusqu’à présent été écartée par les présidents concernés, au motif qu’elle mobiliserait trop d’énergies et ne générerait pas d’économies à court terme : elle entraînerait probablement l’alignement de la convention collective de Radio France sur celle de France Télévisions, mieux-disante socialement.
    Sans se prononcer sur ce point, le document du CAP 22 prévoit justement des « coûts de transition potentiellement importants à attendre, qui devraient être éligibles au fonds de transformation de l’action publique ». Les économies supplémentaires sont-elles « à préciser ».
    Politiquement explosif

    Côté emploi, le texte rappelle que les entreprises sont déjà engagées dans des plans de réduction d’effectifs, estimés à « – 516 équivalents temps plein en 2022 par rapport à 2017 » : ainsi, France Télévisions ne remplace pas un départ à la retraite sur deux. Mais de nouvelles suppressions de postes ne sont pas à exclure : « Départs non volontaires difficiles à éviter », notent les auteurs. Ces derniers sont bien conscients du caractère politiquement explosif de leurs pistes : « Risque de très fortes réactions des personnels et des élus locaux à attendre », écrivent-ils.
    Toutes ces réformes pourraient potentiellement être mises en œuvre en 2018 dans la loi qui transposera la directive européenne sur les services de médias audiovisuels, selon le document. D’ici là, il faudra que les pistes évoquées soient confrontées au travail du CAP 22, ainsi qu’à la réflexion interministérielle en cours. Mais aussi au débat de société sur l’avenir de l’audiovisuel public
    source ► "Le Monde"

    C'est marrant, il me semble que l'on a déjà connu ça; ça s'appelait comment .... ah oui : l' O.R.T.F.
    "Qui dira toute la malice dont les choses sont capables lorsqu'elles cherchent à vous embêter ?"...E.Aisberg (son C.V.)

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      Réclame

       
       

  2. #2
    Super Moderator Avatar de cricri
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    Bonsoir
    Merci pour ce sujet et cet article
    Concernant donc l article:
    Et ben y en a qui ne manquent pas d idées
    J ai une idée :
    virer France info TV
    @+

  3. #3
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    l'etat n'a plus les moyens

    C'est clair que l'on pourrait faire de grosses économies. Passer Culture et Musique sur le numérique par exemple. France O idem ne sert pas à grand chose, un accès sur le net est suffisant. Y a énormément de gabegie dans le service public

  4. #4
    Super Moderator Avatar de kiki37
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    Bonjour
    Citation Envoyé par mikafromlebanon Voir le message
    France O ne sert pas à grand chose, un accès sur le net est suffisant.
    Ben , non tu oublies que beaucoup n'ont pas un débit suffisant pour en profiter ; par contre je verrais bien une fusion France Ô/France 4 ou une cohabitation à l'instar de ce qui se faisait pour la 5ème et Arte à l'époque de l'analogique.
    "Qui dira toute la malice dont les choses sont capables lorsqu'elles cherchent à vous embêter ?"...E.Aisberg (son C.V.)

  5. #5
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    sur le satellite. Je regarde beaucoup France 0 je vois beaucoup de Plus belle la vie; la smala s'en mele et autres fictions diffusées sur France 2. Hormis le matin avec la diffusion des JT des Outre Mer des 1eres, je ne vois pas grand chose qui mérite un canal entier.

  6. #6
    Membre Avatar de Colorix
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    Totalement d'accord avec toi, kiki37. Ta proposition est très judicieuse, un partage entre les deux chaînes leur permettrait de continuer d'exister tout en faisant des économies.

    Je trouve par ailleurs insultant pour nos compatriotes ultramarins "exilés" en métropole, de les priver du lien que leur assurent leurs JT locaux diffusés sur France Ô, ainsi que des nombreux programmes de qualité consacrés aux DOM-TOM (la très belle série documentaire "Archipels" notamment). Tous ne peuvent pas avoir internet, l'ADSL ou le satellite pour regarder ces JT et programmes en direct ou en replay. Le maintien de cette chaîne est pour moi une évidence en tant que service public.

    Mais soyons clairs, un proche m'a expliqué la vraie raison de ce regroupement qui n'a rien à voir avec la prétendue "BBC à la française". C'est tout simplement pour préparer la privatisation à terme des divers médias qui coûtent de l'argent plus qu'ils n'en rapportent à leur actionnaire actuel, l'Etat.
    Colorix
    Louis Marie Foratier

    -------
    décédé en janvier 2020

  7. #7
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    On va arreter le delire .

    France 4+O+reseau la premiere = 65 millions d'euros par an soit 1 Euros par an et par habitants
    France 2 = 450 millions
    France 3 = 630millions (locales et regionales comprises).
    France 5 75 millions
    France info : on ne sait pas que c'est partager entre radio france et france tele et france medias monde (france 24). Les journalistes travaillent souvant aussi pour les autres redacs. Comparer a la BBC,c'est pas cher.

    A titres de comparaison,TF1 et LCI fait chacque année presque 5 Milliards de chiffres d'affaires et 3 milliards de benefices reste coute que coute le premier groupe audiovisuel d'europe.
    A l'heure que je parle,a TF1 ils sont deja entrain de boire le champagne !!!
    Celle qui c'est fait avoir,c'est ernotte !! Elle n'avait q'a pas faire la bise a mme macron !!

    TOTAL (France Télévisions) = 1190 Milliards par an .

    Comme quoi,Macron fout aussi le bordel a France Télévisions !!
    Dernière modification par SAT ; 15/11/2017 à 14h25.

  8. #8
    Super Moderator Avatar de kiki37
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    Audiovisuel public : la réponse de France Télévisions au gouvernement

    Delphine Ernotte, sa présidente, propose des rapprochements avec des partenaires aux niveaux européen, français et régional, selon les informations du « Monde »
    Citation Envoyé par Le Monde
    Créer au niveau européen une alliance capable de rivaliser avec Netflix, rapprocher France Télévisions d’Arte et de l’Institut national de l’audiovisuel (INA), susciter au niveau régional treize groupements d’intérêt économique rassemblant France 3, France Bleu et les journaux ou les télévisions locales privées… Selon les informations du Monde, ce sont les principales pistes de réformes soumises par la présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte, au gouvernement, qui a demandé officiellement à tous les dirigeants de l’audiovisuel public des idées de synergies et d’économies. La patronne de l’entreprise publique a évoqué ces propositions mercredi 15 novembre, dans une réunion avec plusieurs centaines de ses cadres, comme l’a évoqué L’Opinion.

    Ces propositions ne répondent pas point par point aux pistes choc évoquées dans un document rédigé par le ministère de la culture et révélé par Le Monde lundi 13 novembre. Pour deux raisons : d’abord, la réponse de France Télévisions a été remise au gouvernement le même jour et donc élaborée avant que le document soit connu. De plus, Delphine Ernotte a décidé de prendre des options différentes de celles esquissées par le ministère : création d’une structure unique rassemblant France Télévisions et Radio France, ainsi que France Médias Monde (France 24, RFI…) et l’INA ; suppression de France Ô, la chaîne des outre-mers ; passage des médias jeunes France 4 et Mouv' en diffusion uniquement numérique ; rapprochements des réseaux France 3 et France Bleu…
    Mme Ernotte peut s’appuyer sur le fait que la ministre de la culture, Françoise Nyssen, n’a pas jusqu’ici assumé ces réformes radicales, exposées dans ce qu’elle a appelé un « document de travail ». Cet argument a été rappelé par la présidente de France Télévisions lors de la réunion avec ses cadres, mercredi. De plus, le document du ministère est destiné au « comité action publique 2022 », un groupe de travail sur la réduction de la dépense publique, qui agit parallèlement aux discussions engagées à la demande du gouvernement avec les patrons de l’audiovisuel public.

    Eviter la fusion avec Radio France

    La direction de France Télévisions espère toutefois infléchir les débats en proposant de nouer des alliances avec des partenaires qui produisent eux aussi des images, aux niveaux européen, français et régional. En creux, cette approche cherche à éviter une fusion avec Radio France, jugée lourde et coûteuse à court terme, en raison du probable alignement des statuts des employés.
    Au niveau européen, France Télévisions tente de rebondir sur l’idée de « Netflix européen » évoquée par Emmanuel Macron pendant la campagne présidentielle. L’idée est de créer un pôle capable de rivaliser avec le géant américain de la vidéo à la demande par abonnement, ce qui est impossible au niveau français. Toutefois, créer un tel service est difficile : les droits des séries et émissions se négocient pays par pays et peu d’acteurs de ce marché sont propriétaires de leurs œuvres au niveau européen. De plus, pour les structures publiques, il n’est pas évident de pouvoir participer à un service qui serait payant.
    Davantage que Netflix, le modèle serait donc plutôt Hulu, la plate-forme créée par plusieurs grandes chaînes de télévision américaines : y sont rassemblés les services de rattrapage permettant de revoir gratuitement un programme, mais aussi certains services payants, selon un modèle « freemium ». Surtout, note France Télévisions, Hulu a servi à réaliser des coproductions, comme la série primée The Handmaid’s Tale (La Servante écarlate).
    A l’échelle française, France Télévisions propose de se rapprocher d’Arte. Cette dernière est une structure franco-allemande mais, pense l’équipe de Mme Ernotte, les deux entités pourraient collaborer dans la production de séries dans le but d’atteindre le standard de qualité des meilleurs à l’international. Et de réaliser des économies en partageant certaines tâches. Un partenariat entre France Télévisions et Arte était évoqué dans le « document de travail » du ministère.

    Rapprochement de France 3 et France Bleu

    France Télévisions est également favorable à une alliance avec l’INA, qui collabore déjà au projet Franceinfo en fournissant des modules de programmes courts. Les deux structures pourraient aussi travailler ensemble sur la formation, la numérisation ou l’archivage, croit-on à France Télévisions.
    Au niveau régional, Delphine Ernotte propose, comme le gouvernement, de réunir France 3 et France Bleu, mais en élargissant l’alliance aux acteurs du privé : la presse quotidienne régionale, qui manque de puissance sur le numérique, ainsi que les télévisions locales, quand elles existent. Dès la rentrée 2018, France 3 et France Bleu pourraient travailler ensemble sur des matinales ou des programmes communs, sur le modèle de Franceinfo, propose Mme Ernotte, afin d’aller dans le sens du gouvernement.
    Cet exemple illustre la logique que privilégie France Télévisions dans ses relations avec Radio France : une approche « par projets », inspirée de France Info. Celle-ci pourrait aussi s’appliquer à la culture – des discussions sont en cours entre France Culture et France 5 notamment – et à l’éducation ou l’éducation artistique.
    Dernier point, afin de tenter de répondre à la demande pressante d’économies formulée par l’équipe de M. Macron, France Télévisions a ouvert la porte à une évolution de son modèle social. Celle-ci passerait par l’ouverture d’une phase de discussion avec les syndicats dans le but de renégocier l’accord collectif signé en mai 2013 pour fixer le temps de travail ou l’organisation des métiers dans l’entreprise unique créée par le rapprochement de France 2, France 3, etc. Sa négociation avait à l’époque été longue et sensible.
    Source : "Le Monde"
    "Qui dira toute la malice dont les choses sont capables lorsqu'elles cherchent à vous embêter ?"...E.Aisberg (son C.V.)

  9. #9
    Membre Avatar de SAT
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    Collaboration = OUI !!!
    Fusion = NON !!!

    C'est deux choses totalement différentes !

  10. #10
    Super Moderator Avatar de kiki37
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    Emmanuel Macron tire à boulets rouges sur l’audiovisuel public

    Lors d’une réunion à L’Elysée, le président de la République s’est montré très critique envers France Télévisions, Radio France et le Conseil supérieur de l’audiovisuel.
    Citation Envoyé par Le Monde
    « La honte de la République. » Ces mots cinglants sur l’audiovisuel public prêtés à Emmanuel Macron par L’Express ont sidéré le secteur, mardi 5 décembre. Supposément tenuslors d’une réunion, lundi soir à l’Elysée, avec les députés de La République en marche (LRM) et du Modem membres de la commission des affaires culturelles et de l’éducation, les propos ont été « fermement » démentis par la présidence de la République, sans plus de détails.

    Avant que Télérama affirme dans la soirée qu’Emmanuel Macron avait en fait déclaré : « L’audiovisuel public, c’est une honte pour nos concitoyens, c’est une honte en termes de gouvernance, c’est une honte en ce que j’ai pu voir ces dernières semaines de l’attitude des dirigeants. »
    La charge est extrêmement sévère et inédite, d’autant que le chef de l’Etat ne s’était, depuis son élection, jamais exprimé directement au sujet deFrance Télévisions ou de Radio France. Tentant de minimiser la portée de la polémique, le président de la commission des affaires culturelles et de l’éducation, Bruno Studer (LRM), a expliqué que M. Macron avait parlé de « son ambition pour l’audiovisuel public, même s’il a été critique ».

    De son côté, Gabriel Attal, autre député macroniste, note que le chef de l’Etat a dressé « un constat sévère sur la gouvernance de l’audiovisuel public, soulignant son incapacité à s’adapter aux nouveaux enjeux ».
    Dans le détail, Emmanuel Macron a fustigé « la mauvaise gestion, le gaspillage, la médiocrité des programmes et des contenus, les relations malsaines entre l’audiovisuel et ses partenaires extérieurs (animateurs, producteurs, etc.) », a rapporté le site Internet de L’Express. « C’est très cher, pour une absence de réforme complète depuis que l’entreprise unique [à France Télévisions] existe ; pour une synergie quasi inexistante entre les différents piliers des entreprises publiques ; pour une production de contenus de qualité variable », a-t-il dénoncé, selon Télérama.
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