Réponse du Docteur Huissan Dizneuff-Véhacheff auquel ont été soumis ces symptômes :
" Le sujet présente manifestement les caractéristiques de la pylônophilie, pathologie bénigne quand elle se limite aux symptômes d'excitation qui vous ont été décrits. Une variante plus sérieuse de cette affection, la pylônophilie ascensionnelle (consistant pour le sujet à grimper frénétiquement, parfois à mains nues, le long de ces structures), peut nécessiter le recours à des traitements sédatifs appropriés.
La pylônophilie n'est toutefois pas aussi inquiétante que son opposé, la pylônophobie, dont certains sujets porteurs de virus de type Sherwood (alias Robin-Destoîts) éprouvent une véritable obsession à l'encontre des installations de type GSM en zones urbaines ou même rurales, pour laquelle des traitements encore plus poussés (Cordons de Rétention Sécurisés, en abrégé CRS) sont parfois nécessaires pour calmer les plus atteints.
Néanmoins à ce jour, la phase la plus grave de la pylônophobie reste sa variante explosive, apparue dans les années 70 dans deux régions françaises : la Bretagne, touchée par le virus de type FLB, et la Corse, avec une variante plus récidivante, le virus FLNC, amenant leurs porteurs à des explosions de caractère incontrôlable : cas Roc Trédudon (Finistère, février 1974) et Pré-en-Pail (Mayenne, 1977), et cas Serra di Pigno (Haute Corse, 1977), avec des récidives pouvant atteindre des structures moins élevées (Recettes des Impôts, Gendarmeries...)
Nous n'en sommes heureusement pas là, et votre ami peut sans problème continuer de vivre avec cette affection légère, à la condition que celle-ci n'ait pas d'incidence néfaste sur sa vie conjugale..."
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