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Nous avons trouvé un produit qui a de fortes chances de vous séduire. Explications.

Il est urgent d’attendre. Face au comportement erratique des marchés européens, de nombreux investisseurs préfèrent rester sages. Ils ont plein de liquidités mais n’osent pas les utiliser. Nous avons trouvé un produit qui devrait répondre aux attentes des plus prudents.

Il s’agit d’un certificat bonus cappé last minute émis par BNP Paribas (code: V157B). Si le CAC 40 vaut plus que 2580 points le 21 juin 2013, le produit sera remboursé 37,3 euros, contre un cours d’acquisition de 33,51 euros. La performance serait d’environ 11,3% hors frais. Il suffit que l’indice vaille plus de 2580 points à l’échéance pour faire un profit substantiel.

Au cas où le CAC 40 vaudrait moins que 2580 points à l’échéance, le produit serait remboursé au cours de l’indice divisé par 100. Par exemple, si le CAC 40 vaut 2500 points, vous touchez 25 euros par certificat.

Le sentiment des experts Figaro Bourse: ce produit revient à faire un profit même si le CAC 40 a baissé de 20% en juin 2013 par rapport à son niveau actuel. Nous considérons qu’il s’agit d’une opportunité. Ce produit vient en complément d’un portefeuille comptant des obligations, des actions internationales et à fort rendement.

Horizon d’investissement: un peu plus d’un an.

Profil d’investisseurs: tout public.

Dopées par la bonne performance de Wall Street, les sicav « actions américaines » ont comblé leurs souscripteurs cette année… comme les précédentes. Est-il encore temps d’en profiter ?

Une croissance limitée à 8,1 % du PIB chinois au premier trimestre, alors qu’elle était attendue à 8,4 %, a alimenté un certain scepticisme vis-à-vis de l’Empire du Milieu. À tort, aux yeux des économistes locaux.

Installé à Hong Kong, Fabrice Jacob y a cofondé JK Capital Management en 1997 après avoir travaillé à New York et Londres pour Paribas et Worms. Sa société gère 150 millions de dollars au travers différents fonds dont LFP JKC China Value.

LE FIGARO BOURSE - Vous vous étonnez d’une vague de scepticisme de la part des investisseurs européens vis-à-vis de la Chine. Les données macro-économiques récentes, comme l’indice des directeurs d’achat (PMI), sont-elles mal interprétées?

Fabrice Jacob - Deux indices PMI coexistent en Chine: l’indice PMI officiel et l’indice PMI HSBC/Markit qui fait l’objet d’une estimation avancée dans le courant de chaque mois avant son chiffre définitif. Lundi 23, c’est donc l’estimation avancée de l’indice HSBC qui a ressortie à 49,1. En deçà de 50, l’indice suggère une contraction de l’activité, mais la trajectoire dans le temps est positive puisqu’on était descendu à 48,3 le mois précédent. Il faut aussi souligner que le panel de HSBC est davantage tourné vers les PME, qui sont plus sensibles à la tenue des exportations alors que le panel de l’indice PMI officiel fait davantage part aux grandes entreprises d’Etat, plus exposées à la croissance du marché domestique (rappelons que la part nette des exportations dans le PIB n’est que de 2 %). Or l’indice officiel demeure au-dessus du seuil de 50.

L’indice d’inflation plus fort que prévu pour mars a aussi suscité des craintes de surchauffe des prix…

Face à des bourses européennes déprimées, Wall Street fait figure d’Eldorado. L’indice S & P 500 bondit d’environ 11 % depuis le début de l’année en dollars (et de plus de 9 % en euros) quand l’EuroStoxx 50 est en léger repli sur la même période. «Ce décalage de performance n’est pas nouveau. Depuis fin 2009, investir sur les valeurs du S & P 500 a permis de gagner 41 % (dividendes réinvestis, en couvrant le risque de change) alors que miser sur celles de l’EuroStoxx 50 s’est soldé par une perte de 14 %» chiffre Yves Maillot, directeur des investissements et de la gestion actions de Robeco Gestions. «Soit un gain de 15,88 % par an dans le premier cas, et une perte de plus de 6 % dans le second».
Plus de 25 % de hausse en un an pour les meilleurs gérants

Sur un an, un grand nombre de fonds dédiés aux actions américaines sont donc en hausse de plus de 15 %, et même de plus de 25 % pour les plus brillants: Vontobel Fund Us Value Equity (Vontobel) progresse de plus de 29 %, MS INVF US Advantage (Morgan Stanley) de 27,40 %, et JPMorgan Us Growth Fund (JP Morgan) grimpe de près de 27 %, selon Europerformance- a Six company (performances arrêtées au 27 avril).

La crise de la dette souveraine, qui pénalise indirectement les cours des sociétés italiennes, espagnoles et même françaises -en particulier ceux des banques-, a bien sûr joué son rôle. Tout comme l’évolution du cours du dollar face à l’euro. «Désormais, on voit très clairement le dollar monter quand les bourses européennes sont chahutées» ajoute Yves Maillot.
Moins de valeurs bancaires, plus de technologie

Mais Wall Street a aussi ses propres atouts. La conjoncture économique est meilleure aux États-Unis qu’en Europe. Elle reste soutenue par un déficit budgétaire important et une politique monétaire très offensive. Le marché américain est en outre «structurellement différent» notent les experts d’Ofi AM, «grâce à la forte pondération du secteur de la technologie, très innovant, alors qu’en Europe, ce sont les industries dites «classiques» (comme les minières, la chimie, les pétrolières, les sociétés de construction ou encore les opérateurs telecom) qui dominent la cote». Le poids des valeurs bancaires en Europe est le double de celui observé outre-Atlantique.

Les investisseurs ont donc de bonnes raisons d’être tentés par les sicav actions américaines. «Bien sûr, Wall Street a déjà beaucoup progressé par rapport aux places européennes. Mais pour l’instant, le dollar est toujours une valeur refuge et le marché américain reste séduisant tant que les problèmes de la zone euro ne sont pas résolus» souligne Yves Maillot. «Mais il est préférable de privilégier des fonds qui se diversifient sur les grandes comme les petites valeurs, et qui n’ont pas de biais «croissance» trop marqué, car ce sont ceux qui résisteront le mieux en cas de turbulences boursières» conseille-t-il.


La poursuite de la croissance dans les marchés émergents et des acquisitions avisées ont soutenu les comptes trimestriels, confortant les objectifs 2012 du groupe. L’action apparaît comme une valeur sûre.

Le spécialiste mondial des infrastructures électriques et numériques du bâtiment a enregistré un chiffre d’affaires de 1,086 milliard d’euros à fin mars, 4,8 % de plus qu’au premier trimestre 2011. Cette croissance reflète l’essor inentamé des émergents (+6 %) et l’impact des acquisitions (+5 %), compensent les tendances moins porteuses observées, sans surprise, dans la plupart des pays matures d’Europe (par exemple-14 % en Italie).

Dans ce contexte Legrand a maintenu une rentabilité opérationnelle confortable, bien qu’en repli par rapport au premier trimestre 2011 (20,4 % du chiffre d’affaires sur la période écoulée) avec un résultat opérationnel de 222 millions d’euros. Le bénéfice net part du groupe atteint 123,3 millions, soit une baisse de 3,3 % en données brutes mais hors gains et pertes de change nets d’effets d’impôt, ce poste afficherait une hausse de 2,4 %. Et sur ce trimestre, la firme limougeaude a généré 80,8 millions d’euros de liquidités disponibles, tout en ayant procédé à deux nouvelles opérations de croissance externe (Numeric UPS, leader du marché des protections électriques de petite et moyenne puissance en Inde, et Aegide, leader des armoires voix-données -images pour centre de données aux Pays-Bas).

Le sentiment des experts du Figaro Bourse: Legrand fait partie des rares valeurs françaises recommandables sur la durée. Présente sur des marchés porteurs et bien gérée, la firme dégage un bon rendement sur capitaux. Il faut aller au-delà du classique ratio cours/bénéfices qui, à 14 fois environ, ne donne pas d’indication flagrante sur la valorisation. En revanche nous observons que le groupe a procédé le mois dernier à une émission d’obligations à 10 ans à un taux annuel de 3,375 %. Or en investissant dans les capitaux propres, le rendement du dividende est aujourd’hui supérieur: 3,5 %. Dans une perspective de long terme, on peut mettre le titre en portefeuille sans états d’âmes.

Horizon d’investissement: La 27e pondération du CAC 40 est une belle valeur encore négligée, à mettre en portefeuille et à renforcer en fonctions des opportunités de marché avec un horizon de détention sur plusieurs années.

Profil d’investisseur: Bon père de famille.

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